Dans les émois du Silence VIII
Dans les émois du silence VIII
Cher frère de vers
Ta lettre a réveillé ces mal-êtres
Qui cisaillent depuis des lustres mon pauvre être
Je t’ai vu peindre un paysage noir de douleur
Au pinceau du désespoir avec de macabres couleurs
Que retiendra le monde de notre histoire
A part nous avons fait de l’injustice, l’impunité et de l’angoisse de grandes stars ?
L’assassine politique de nos aînés
Nous font pleurer la disparition de nos chers êtres aimés
Aimé,
Chaque fois que s’insurgent dans mes pensées ces souvenirs
Mon envie de fuite s’agrandit
Je ne saurais choisir
Entre souffrir ou mourir
Même si le mal a pris le dessus
Que nous semblons abattus et déçus
Nous irons toujours à la quête de la plus grande des vertus
Celle qui nous ouvrira les portes de la tolérance, la solidarité, l’espérance, la responsabilité, le bonheur…
Dans le sillon de nos écrits que la paix voit le jour
Car nous sommes tous faits à l’image de l’amour
Alors semons la joie au maximum dans tous les coeurs
Que ses graines de tendresse et douceur
Nous offre un avenir radieux, prometteur
Pour que la paix ne meure
Monami « Ll’ami des slameurs »
karen
14 novembre 2017 0 h 12 minBon travail mmoami j’aime tes vers